Bande annonce sonore #jesuislà

couverture Ebook Partout Charlie(s) #jesuis faite d'un grand haschtag stylisé.

Bande annonce sonore #jesuislà, un récital poétique de Lyncée en solo !

Découvre par ici la bande annonce sonore #jesuislà. Je te l’ai montée laborieusement à partir d’un matériaux réalisé dans des conditions délicates de captation audio et mes compétences de novices en la matière. Il me paraît tout de même qu’elle pourrait te donner l’envie de te déplacer quand une représentation se trouve dans tes parages voire, d’en programmer une chez toi ou pas loin !

Écoute la bande annonce du récital poétique #jesuislà, c’est juste là…

Play

Une présentation textuelle du récital poétique #jesuislà au bout de ce lien…

Programmer #jesuislà chez toi

Rien de plus simple, un coup de fil pour croiser nos conditions et calendriers :
06 63 25 03 38
et voici du possible pour des bientôt !

Au plaisir de nous croiser en représentation comme dans le reste de la vie !

Lyncée pour te servir

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Harpsychés à La Ruche (théâtre nantais)

l'affiche présente une forme de miroir avec les portraits des poètes incrustés, quelques notes de musique et le bandeau de La Ruche, un théâtre nantais

Récital poétique
Harpsychés
en plein dans tes oreilles !


Harpsychés à La Ruche (Nantes), une première pour ce récital poétique dans la programmation d’un théâtre, avec une scène, du son et surtout les lumières qui ne se purent lors de notre dernière présentation, verrière de juin oblige. 3 journées de résidences en janvier pour améliorer encore notre proposition poéticoscénique, un calendrier de répétitions pour vous en offrir le meilleur, et tout bientôt un rendez-vous avec vous, cher public, grâce à qui vit la poésie du papier aux oreilles en passant par les corps !
Lue, dite, accompagnée ou à voix nue, chantée même, la poésie dans tous ses états, mise en voix, en son dans la magie de la Harpe de Mouna, et en scène pour ne pas vous plonger tous seuls dans le noir


Harpsychés à La Ruche c’est :

Trois auteureuses rien que pour vous, de leurs recueils à vos accueils dans la clarté des arcanes de la harpe de Mouna comme en solos. Serpentins d’alambics, dédales tortueux, voix lumineuses stratosphériques et galaxies intimes à cheminer ensemble juste pour voir.



Le récital Harpsychés se prolonge par des discussions, et les dédicaces des recueils des auteurs en vente sur place si vous n’avez pas le vôtre sur vous ou souhaitez en offrir.

Bon ben, il ne reste plus qu’à en parler partout et à tous, objectif : salle comble et nombreuses déceptions de n’avoir pu en être !
Partageons avec nos amis, sans oublier nos ennemis qui ne sont pas forcément irrécupérables, nos voisins, nos collègues, et partout où de la poésie peut venir taquiner les équilibres des mondes, partageons et commentons sur les réseaux encore…

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pol’n reçoit Harpsychés (Nantes 44)

un cerisier et une harpe, l'affiche du récital poétique Harpsyché

Pol’n accueille Harpsychés

Récital poétique Harpsychés en plein dans tes oreilles !

Trois auteureuses rien que pour vous, de leurs recueils à vos accueils dans la clarté des arcanes de la harpe de Mouna comme en solos. Serpentins d’alambics, dédales tortueux, voix lumineuses stratosphériques et galaxies intimes à cheminer ensemble juste pour voir. »

Pol’n accueille Harpsychés : Rolan Cornthwaite, Mouna Khalifa et Lyncée combinent les mises en voix et en scènes de leurs poésies au-dehors des pages qui les confinent d’ordinaire, et vous les livrent ici pour la première fois ensemble.


  • Ouverture du bar à 19h
  • début du récital à 20h pour 1h05 environ
  • échanges avec le public

Il est vivement recommandé d’arriver un quart d’heure à l’avance.


Présentation élargie du récital Harpsychés

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#jesuislà Nantes Sud chez Anne

couverture Ebook Partout Charlie(s) #jesuis faite d'un grand haschtag stylisé.

#jesuislà-nantes-sud-chez-anne

Anne reçoit dans son salon, #jesuislà, le récital poétique de Lyncée. Avec Lyncée bien sûr, toi si tu viens, tes amis, si tu les y invites, Anne et bien des gens bien !
La poésie dans tes oreilles et tes mirettes encore ! Tu pourras lever le nez du recueil qui enfanta ce récital pour jouir des vibrations irradiantes de cette poésie là.
Pense bien à réserver ta ou tes places auprès d’Anne directement par téléphone ou courriel, et viens cinq à dix minutes à l’avance avec quelque menue monnaie si d’aventure tu désirais acheter un recueil.

#jesuislà Nantes Sud chez Anne et toi ?

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#jesuislà Margueritte avec Nathalie Pascal et Mouna Khalifa

couverture Ebook Partout Charlie(s) #jesuis faite d'un grand haschtag stylisé.

#jesuislà Margueritte !
Le nouveau récital poétique de Lyncée aux causeries Margueritte à Nantes

Les causeries Margueritte avec 2 T comme le général qui prêta son nom post mortem à cette rue nantaise où nous retrouver le 27 novembre 2022 à 18h30.
Un récital poétique, un concert et une lecture de Luc Vidal. La causerie de la poésie au chant, pour quelle place ?
C’est gratuit, chouette et plein de bonnes gens intelligents, ne me dis pas que tu as piscine !

Pour trouver sans difficulté #jesuislà Margueritte, c’est au 23 rue Général Margueritte sur un chemin gravillonné, derrière la porte avec des paroles de chansons dessus.

Une formulation de ce qui t’attend en partie avec le récital poétique #jesuislà

à bientôt

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Démarrage de la tournée local du récital #jesuis là – Lyncée de retour !

Bien le bonjour de Lyncée,

Tu apprécies à n’en pas douter, que cette lettre d’information te parvienne uniquement lorsqu’elle a une information à te livrer. Ceci te soulage de la fastidieuse connexion quotidienne sur le balado de Lyncée pour t’apercevoir bien des fois que rien n’a changé. Le site a toujours une allure aussi simpliste, et pas un nouvel épisode à se fourrer dans les oreilles.

Voici, ainsi que l’annonce l’objet de ce message, la dernière nouvelle que l’équipe de Lyncée est heureuse de diffuser : un nouveau récital poétique, actuellement en tournée locale : #jesuislà. Il peut se vivre chez toi ou n’importe où ailleurs, où les liens conduiront, et sa tournée locale débute à Saint-Herblain.

Ce récital est un florilège mis en voix et en scène sobrement pour te présenter le dernier recueil de poésie de Lyncée, Partout Charlie(s) #jesuis, dont quelques exemplaires seront disponibles à la vente sur place. Le récital est gratuit par la grâce de bonnes volontés, mais le livre coûte à produire et se vend 7 € que tu peux garder dans ta poche ou dépenser pour te l’offrir.

Tournée locale en cours d’augmentation !

1. 22 octobre 2022, à 14h00, à la bibliothèque associative Paul Eluard à Saint-Herblain (44800).
– – Entrée gratuite ;
– arrive 5 à 10 minutes à l’avance pour t’assurer ton siège ;
– 32 avenue des Plantes, Saint-Herblain ;
– tramway 3 arrêt Longchamp ;
– bus C 20, arrêt Églantine.

2. 5 novembre à 11h00 à Scopéli à Rezé 44000.
– – Entrée gratuite ;
– arrive 5 à 10 minutes à l’avance pour t’assurer ton siège ;
20 rue de l’Abbé Grégoire Rezé ;
– bus 36 arrêt Sorin.

3. 27 novembre 2022 à 18h00 aux causeries Margueritte à Nantes (44000).
– ATTENTION ! Réservation par courriel en répondant à ce message par exemple ;
– récital augmenté d’un concert de Mouna et Nathalie Pascal sur des poèmes de Luc Vidal ;
– au 23 rue du Général Margueritte à Nantes ;
– tramway 3 Arrêt Motte Rouge ;
– bus C6 arrêt Cochard.

Retrouve l’ensemble des zapparitions de Lyncée en un clic.

Puis, si le récital t’a plut, que tu souhaites le revivre, et que tu manques de disponibilité sur les autres dates de la tournée, sens-toi libre d’en ajouter en invitant le récital chez toi ou chez ton voisin qui a un plus grand séjour que toi alors il faut bien s’en servir de temps en temps !

Au plaisir

Lyncée

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Lyncée chez Short Édition

Bien le bonjour chez toi,

Lyncée fait son entrée chez Short Édition, l’éditeur propulseur de littérature courte.

Rien qu’à ces mots, on se sent déjà très haut !

Le concept me plaît depuis que j’en ai entendu parler puis, comme toute nouvelle aventure ne se peut que lorsque le temps en est venu, j’ai finit par ouvrir un compte en mai dernier avant de le laisser reposer tel que je l’oubliai un peu à dire vrai.
Le temps, le besoin d’être lu un peu plus donc, de communiquer sur mes propositions m’ont rappelé à cette démarche abandonnée à l’été, au dé-confinement et ses frivolités.

Lyncée chez Short Édition, qu’est-ce que c’est donc ? Est-ce que cela m’intéresse ?

Lyncée t’invite si tu le souhaites, à découvrir quelques textes de Douceur à l’état brut n’ayant pour certains pas encore fait l’objet d’enregistrement en écoute libre ici. Cela viendra en son temps pareillement.
Découvrir si tu ne l’as déjà fait, le concept fait de : publications libres, de concours à chaque saison, de concours éphémères, de votes des lecteurs pour la partie propulsive, de boutons « j’aime » comme il s’en trouve partout de nos jours, de commentaires qui sont les bienvenus voire attendus, de partages avec qui tu veux et d’échanges en tous sens avec auteurs et lecteurs dans le respect des distances sanit…ARG !

découvrir pleins de textes qui te changeront des images foisonnantes du monde des écrans.

Voici les liens directs vers les textes que tu n’as pas encore pu entendre et qu’en attendant que cela se puisse, tu peux lire : Chouette ! Nous avons rendez-vous (1ère partie : Belle et bleue), Zobcédé (2ème partie Volibulle), Nonos et nanas (5ème partie : Les gens), Mes jupes en mots (6ème partie : Un bon fils.
Pour l’ensemble des textes de cet ouvrage majeur qui s’ignore comme tel parce que le monde entier ménage son humilité, c’est par ici…/ Pour te faire plaisir ou l’offrir !

Je prévois d’y publier ainsi quelques poèmes ou textes courts figurant dans mes recueils mais aussi d’en soumettre aux concours. Viens d’en voir le premier refusé alors que bon, je ne le trouve pas dégueu du tout. Il se nomme « Un va bondir » si tu le croise, tu verras s’il n’a pas bondit !

Lyncée te remercie de cette lecture attentive, des visites que tu feras peut-être en poussant ta curiosité, des interactions et tapages que tu déclencheras pour propulser au plus haut qu’il se peut tous ces petits riens qui, un temps comptent peut-être suffisamment pour toi pour générer autant d’actions.

Au plaisir de nos prochains croisements

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Orné des Plumes de Retz, Lyncée en escale à Saint-Michel-Chef-Chef

Affiche de l'édition 2020 du festival Les Plumes de Retz

Débarque-y toi aussi et rend-toi à l’église auprès de laquelle se dit une messe toute fraîche et poétique pour une fêtes des mots que t’offrent leurs faiseurs.

J’ai grand plaisir à rejoindre les auteurs, les diseurs, les chanteurs et toutes les autres de tous genres qui vont t’en mettre plein les yeux, les oreilles et les cœurs.

Nous pourrons échanger à un stand quand je m’y trouverai moi-même. Tu pourras si tu le veux, te procurer un exemplaire de Douceur à l’État Brut (ou plus si tu veux l’offrir). C’est en soirée que je donnerai de la voix parmi d’autres plumes sorties de l’encrier.

À dimanche si tu t’en viens par là

PS Si ta voiture prend le chemin de Nantes à la suite de ces festivités, et qu’elle offre deux places libres, ça m’intéresse grandement !

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À Fendre l’Horizon by Trudi

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À Fendre l’Horizon en chanson et en toute modestie par une toute jeune musicienne qui nous offre cette proposition venue du cœur.
Merci Trudi.
Je te remercie également d’inaugurer les contributions externes au projets de Lyncée.

Au plaisir


Retrouve ici l’original, tu verras qu’il n’y a pas photo,, seulement de la complémentarité.


Les autres propositions de Trudi se peuvent entendre au compte-gouttes par ici…

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Douceur à l’État Brut plus qu’audible, il est à présent palpable, visible et pour les plus curieux d’entre vous, lisible

Voici que tu peux désormais te procurer Douceur à l’État Brut pour vérifier de visu ce que tes zoreilles ont déjà pu entendre, et plus encore…
Deux fois plus de poèmes de Lyncée dans ce livre papier ou numérique que sur le balado car, un peu moins de la moitié est enregistrée pour le moment.

Puisque ce recueil est publié en autoédition, nantais ou de passage sur Nantes, une remise en mains propres ou à peu près s’envisage si tu es pressé d’acheter Douceur à l’État Brut. Si un lieu public a ta préférence, des rendez-vous publics s’organisent où Lyncée donnera de sa voix en te proposant la même transaction. La rubrique des évènements s’affiche dans le calendrier.

Dans la continuité de la vague virale que ta contagion diffuse déjà malgré toi, les plus avisés des libraires seront achalandés.

À bientôt

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Je suis Lyncée

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Je suis Lyncée

« Et alors !

– Comme je veux te parler, je me présente et t’indique pourquoi je veux te parler et pourquoi je choisi de te parler. Te parler à toi. Cela me semble naturel. Nous pourrions même cheminer vers un dialogue… Qu’en dis-tu ?

-Dis toujours… On verra après…

-De toute façon si tu n’as pas envie d’écouter ou d’entendre, tu peux cliquer sur pause ou ne même pas lancer la lecture. En fait, se joue entre nous comme en tous liens, même ténu ou furtif, le choix de l’élan dont tu nourris ce lien. Sens-toi ici aussi, libre.

Un temps fait de rien, peut-être, puisque impalpable sans réponse.

-Bon ben j’y vais alors… Je reprends : je suis lyncée,… »

Le son qui en découle dans tes zoreilles juste après le déclenchement de la lecture du fichier attaché à cette insertion au balado de Lyncée met la suite de ces propos de toi à moi en mots ; les miens.


Je suis Lyncée,

Poète en dérangement qui m’arrange
Et aussi réciproquement.
Je ne veux pas grand-chose ;
Je veux juste te parler.

C’est à toi que je parle
À toi et ton sourire
Je parle pour ceux qui se disent libres
Je parle aussi à ceux
Dont les sourires t’amusent
Ou t’effraient
Qui se savent enfermés

Chaque pas dans la prison d’autrui est un pas que tu ne vois pas dans la tienne.
Les pas de ta prison te bercent dans celle d’autrui
Oncarné par delà les incarnations du vivant

C’est à toi que je parle
Forçat de ta colère
Révolté, pris de vie
À toi comme à ceux qui t’enchaînent
Quand tu cries « vivre libre ou mourir »
Le fureur qui est en toi fait déjà le choix
Enchaîné à la vie, tu meurs

Je parle aux bons à rien
Aux prêts à tout
Aux foudres de guerre
De toutes les guerres
Aux parvenus
Comme aux biens nés
Je parle aux nouveaux riches
Aux nouveaux pauvres
Je n’oublie pas les anciens
Et je parle aux bourgeois, les petits et les grands
À ceux qui ont le pouvoir
Et à ceux qui le veulent
Je parle aux écorchés, aux cuirassés
Je parle à tous les moutons, aux solitaires
Aux penseurs et aux libertaires
Aux aliénés et à leurs docteurs
À mes sœurs et à toutes les sœurs
À ton frère et à mes parents,
Aux tiens aussi…
Avant même qu’ils aient la parole, je parle aussi à tes enfants et aux miens…
Je parle aussi aux indécis
Tout comme aux imbéciles
Sur mon clavier
Je parle en moi
À tous les hommes
Même à ceux qui ne m’entendent pas
Ou, qu’ils sont occupés à d’autres choses
Ou, qu’ils n’entendent rien
Je leur parle pourtant.
Oui, c’est à vous que je parle
À toi et lui… à eux là-bas et aux autres encore et en corps

Ô, je pourrais bien poser une question pour engager un dialogue…
On le fait sur les réseaux.
Avec ce que j’entends…
Mais, je crains les réponses
Par là, je crains mon jugement des réponses…
De ne savoir que dire à la lumière et au fiel…
Que mon index barre la porte des mots qu’est ma bouche
Et pourtant, je ne veux pas me taire

Alors je dis
Je dis après avoir pesé de mon mieux
La mise en forme de pensées calquées des sens de mon
Intime
Que je t’adresse ; oui, à toi, aux autres et à elle…
En aiguillons sélectifs
Mes mots à moi
Que ne peuvent entendre tous
Et qui peuvent, indolores je le souhaite,
Au fond de toi, toucher…le vaste toi…
Qui les accueille,
T’inviter à dénicher ta propre boussole
Avec compas et carte vierge,
Sonder ton enfant à toi,
D’un pincement sec ou large, vibrer le lien de lui à toi
Que tu ne l’ignores plus enfin!
Procéder à quelques extractions
En un altruiste délestage
D’inutiles encombrants pour la route

Panser des plaies sur ton cœur d’estropié vers la mort

Que sais-je encore…
Si tu entends, c’est dans l’accueil
Si tu réponds, j’essaie d’entendre aussi

Ou rien
Si je te parle et que tu n’entends rien
Je n’y peux rien et toi non plus
Passons nos chemins qui un jour qui sait se croiseront Peut-être encore un temps

Merci de m’écouter quand tu le veux
Merci d’entendre si tu peux
Et aussi réciproquement.
Poète en dérangement qui m’arrange,
Je suis Lyncée


Extrait du recueil Douceur à l’état Brut, disponible à la demande sur Bookelis ou dans les meilleures librairies.
écrit le 23 juin 2018, corrigé le 2 décembre 2019, et encore le 21 février 2023
enregistré le 6 et monté le 12 janvier 2020


Commentaires reportés de Short édition :

29/01/2023 Orane CP
je t’ai écouté, et je t’ai entendu.
C’est magnifique Lyncée…
– 29/01/2023 Lyncée
Merci Orane. Je ne m’étends pas, je dois cesser toute autre activité pour répéter pour mon récital cet après-midi…
Au plaisir
— 29/01/2023 Orane CP
tu me raconteras plus tard ce que tu fais en récital … avant de venir le faire dans le Jura ? !!! bon après midi donc, l’artiste !
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24/09/2022 Viviane Fournier
Des mots pour le dire, pour l’écrire … alors on écoute Lyncée …et on ne peut être indifférent !
– 24/09/2022 Lyncée
Chouette Viviane !L’indifférence serait terrible à l’enfant que je suis et qui montre ses productions à ceux qui l’élèvent.
Merci des détours que tu fais à me lire, des sentiments que tu éprouvent et partagent bien qu’ici en négatif comme dans la précipitation, le photographe s’empresse de visionner sans même développer.
Au plaisir
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24/09/2022 Loredana Li ex Haruko San
Une réflexion que j’ai lue et relue et qu’il me plut de relire tant elle fait écho en moi… Merci à toi pour ces mots, bon week-end Lyncée et au plaisir de te lire encore et encore !
– 24/09/2022 Lyncée
Heureux qu’elle exprime en toi Loredana, reviens quand bon te semble.
Au plaisir
— 24/09/2022 Loredana Li ex Haruko San
Merci beaucoup je viendrai promis ! Et c’est sincère !
— 24/09/2022 Lyncée
Tant mieux. Tu peux aussi écouter sur le balado en suivant le lien du commentaire. Tu y trouveras les informations sur mes publications papier.
à bientôt Loredana
—- 24/09/2022 Loredana Li ex Haruko San
Ouiiiii
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24/09/2022 Phil Bottle
Telle une déclaration universelle des fois de l’homme. Parler, dire, dans l’espoir d’entendre et d’écouter. Nous vivons tous et toutes dans un étrange et invisible carcan. Est-ce son dérangement qui l’arrange, ou le poète qui s’arrange? Les deux, puisque le second ver confirme la réciprocité… Une déclaration digne des aèdes et des oracles d’antan.
– 24/09/2022 Lyncée
Merci Phil de ta lecture et des compliments que tu adresses à ce texte.
Au plaisir de nos prochains croisements
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14/09/2022 Ginette Flora Amouma
Étrange , quelqu’un me parlait … et je n’avais pas capté …. alors que j’attendais qu’ on me parle .
– 14/09/2022 Lyncée
En définitive, tout semble s’être bien passé pour toi Ginette.
à bientôt
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07/11/2021 Ninn’ A
Enchantée, Lyncée 🙂 moi c’est Jeanne, ici en tout cas. Nous ne pouvons effectivement pas obliger les gens à nous entendre et encore moins nous écouter. quant aux gens qui se disent libres, est-il possible d’être libre à part dans ses pensées ? quant aux idiots, idiots pourquoi, idiots par rapport à qui ? la relation à l’autre n’est pas facile 🙂 à plus et bonne journée !
– 08/11/2021 Lyncée
La relation à l’autre s’adoucit quand celle à soi devient possible, les difficultés restent à conjuguer.
Merci de tes lectures, de cette réponse à cette présentation en salutation à l’autre.
Au plaisir
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17/10/2021 Marie Quinio
Après avoir vu quelques commentaires de vous ici et là je m’étais dit que je passerais vous découvrir. Et en parcourant les titres de votre page celui-ci m’a paru la meilleure façon d’engager le dialogue 😉 Originale cette présentation ! Après une première lecture, j’écoute la version podcast.
– 17/10/2021 Lyncée
Une entrée vers mes authenticités qui fondent des rencontres sans surprises in fine lorsque nos êtres de chairs se trouvent dans un espace-temps commun. Nous n’avons pas pris rendez-vous, je t’invite à poursuivre par d’autres entrées si le cœur t’en dit ; les oreilles font leurs propres percées. Prend soin d’elles comme de toi jusqu’au plaisir de poursuivre nos échanges.
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29/07/2021 Mickaël Gasnier
Salut Lyncée…Vous parlez beaucoup et à beaucoup de monde finalement ! ;-))À bientôt sur nos lignes, si le cœur vous en dit
– 29/07/2021 Lyncée
Bonjour Mickaël,Surtout à ceux qui me prêtent l’oreille, leur nombre est fluctuant.
Il m’arrive de me taire et c’est le plus courant.
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Pour soutenir le travail de Lyncée qui y met du cœur c’est par ici sur Tipeee ou Paypall


slamé le 09/01/2020 au temps des Copains (bar) à Nantes avec l’association Slam Poetry Nantes ou sur Slam Poetry – le site de l’association
Ce soir là, il y avait qualification pour le festival Mokikoz
Une semaine plus tard au petit théâtre de la ruche
Bafouillé le 23 février 2020 en un lieu nouveau pour moi et des plus agréables : le Manoir de Claudine, la Châtaigneraie, pas sous mon meilleur jour. Fatigue quand tu me tiens !

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783 – Bouteille de Champagne

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783 – Bouteille de Champagne

 

Contenant chic post rétro
À l’étiquette d’avant néo
Tanière d’un beau trio

 

Mer tranquille d’apparence
Met en scène les danses

 

Pétillent sautillantes bulles
Coooooordooooooonobulle

 

Jusqu’à volibulle envolé
Autoporté et transporté

 

Trio choc de l’écrin chic
Sans chichi ni chocho
Toujours prêt, toujours prompt
À secouer par instants pour que saute le bouchon ¡

Servir

 


Extrait du recueil Douceur à l’état Brut, disponible à la demande sur Bookelis ou dans les meilleures librairies.
écrit le 13 juillet 2016, soit à peine plus de 3 mois après la véritable rencontre de ce trio là. Oui, des gens bien intentionnés pourraient m’inviter à perfectionner la vitesse de mon calcul…. Mais quand tu offres un poème, tu ne calcules pas… corrigé le 21 juin 2019
enregistré le 31 octobre et monté le 4 novembre 2019


Pour soutenir le travail de Lyncée qui y met du cœur c’est par ici sur Tipeee ou Paypall

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Au Seuil

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Au Seuil

C’est Pégase qui t’emporte si tu passes les portes
Il suffit de dire « Vole ! », et sur son dos t’envole
Dépasse les cohortes, misérables cloportes.
De ses ailes d’argent, t’amène au firmament
Si tu poursuis l’envol… Vas-y, la course est folle
Ne ferme pas les portes ou la Terre t’attend
Les hommes et leur argent, les hommes et leurs tourments
Vas-t’en tant qu’il est temps.


écrit avant le 30 janvier 1996
enregistré et monté en 1998 avec la voix de Jean-Luc Beaujau et numérisé en juillet 2018
Copyright 1996
ISBN : 2-908068-72-9

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Allers-Retours et Sacrifices

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Allers-Retours et Sacrifices

On piétine, on tape nos cinquante otages.
De colère on se moque des cent fesses en cage,
Car ici, on ne marche, que pour dire au préfet
Que ses p’tits sont des vaches, qui rient de leurs méfaits

A monsieur de répondre, qu’il n’est pas le Bon roi,
Duchesse de nous pondre, des traités de Bon droit.
Monarque au piédestal, sous notre cathédrale,
Tes hordes sont brutales, entends, le peuple râle.

Incendies et pavés, demain seront tombés,
Nous enterrerons nos cendres, sous une couche béton,
Pour qu’un jour Alexandre, goûte de son téton ;

Et puis de temps en temps, pleure les retombées.
Si fort qu’il commmémore, les monuments aux morts,
Si fort que le temps, lui jettera un sort.


écrit à l’automne 1995 (manif CPE) et, retouché avant le 30 janvier 1996
enregistré et monté en 1998 avec la voix de Jean-Luc Beaujau et numérisé en juillet 2018
Copyright 1996
ISBN : 2-908068-72-9

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À fendre l’Horizon

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À fendre l’horizon

À fendre l’horizon
Je peux t’aimer les pieds sur la Lune
Et décrocher la Terre pour la pendre à ton cou.

Je peux t’aimer les pieds sur la Lune
Et pour t’épater, courir les quatre cents coups
T’offrir ce médaillon

Je peux t’aimer les pieds sur la Lune
Et vraiment n’importe où pourvu que ce soit doux
Rentrer à la maison
Avec ce médaillon
Pour toi mon horizon


écrit le 12 juillet 2015 corrigé le 16 juillet 2016 puis, le 2 mai 2019
enregistré le 1er et monté le 17 mai 2019

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« Hoquet Poèteux et pas Que » – la suite des nouvelles neuves dans la vision de l’avenir de ce qu’il est permis d’envisager sereinement

Après la découverte du Jyn Gueule (l’ensembles des pièces du futur recueil que tu adores déjà en est pourvu à présent), la suite, la voici donc pour ces nouvelles et autres morceaux de projets…

Je t’ai préparé aussi, un format court pour venir en découdre, ton cœur et le mien, dans des salles prévues pour profiter de nous ensemble un bon quart d’heure. En plus le nom est super « Hoquet Poèteux et pas Que » !

Hoquet Poèteux et pas Que

La première date arrêtée est à noter pour l’après-midi du 25 mai au théâtre la Ruche. Bzzz… C’est au 8 rue Félibien à Nantes. Ne cherche pas Lyncée dans la programmation papier car, le tenancier, qui préfère conserver l’anonymat, m’avait zappé quand il a pondu le programme du festival de littérature Dernières Récoltes, dans lequel aura lieu cette petite intervention. Alors, il m’a glissé dans une fenêtre qui s’annonce des plus intéressantes à bien des égards… Un bon moyen de préserver l’anonymat de Lyncée donc !
Je t’en reparlerai assurément. Il est préférable de réserver donc, tête en l’air que tu es, oui, je t’en reparlerai…

D’autres dates à venir qui sait, surtout si tu as une idée, un contact très gentil, ne te gêne pas. Tu peux inviter Lyncée à animer sa poésie dans ton salon, au banquet de ton association, à ton café littéraire ou philo, à la clôture du séminaire de je ne sais quoi mais, c’est à voir… un peu partout où l’Argos peut le mener si tant est que nos calendriers se plaisent à partager.

Un format plus long est en préparation mais, j’en ai déjà trop dit oups !

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Politique audacieuse et ambitieuse pour une VRAIE TVA Verte

Politique audacieuse et ambitieuse pour une VRAIE TVA Verte

Comment mener un pays sans force, sans élan, vrais ?

L’expression TVA verte a déjà été employée. Pourtant, elle n’avait de vert que l’essence jeune et presque innocente de son expression même, d’une nouvelle intrigante qui ne trouvait pour susciter l’intérêt et tourner les regards à elle, que le nom d’une couleur à peine encore en vogue, quasiment non encore incarnée. Elle n’inventa rien et se prit donc à jouer les mêmes règles que celles toujours usités par les convenables usages de ses paires et aïeules idées : un demi point de plus ou de moins par ici, un taux intermédiaire par là, une exonération pour ceux-ci…

Une TVA verte se peut réellement ! Une TVA verte vraiment, dans l’audace d’une politique volontaire et même volontariste ; quasi révolutionnaire et orchestrée par un gouvernement qui ose enfin donner du sens à l’usage de la main sur le gouvernail de la barque qu’il dirige.

La TVA. Cette taxe si essentielle à l’alimentation des caisses de l’état sur lesquelles nous comptons tous pour les services attendus dont nous voulons bénéficier encore.

La rendre verte et même envisager qu’elle devienne vertueuse !

Au lieu de se poser en simulacre de censure ; simulacre par le peu d’écart de taux applicables sur les productions non vertueuses et censure par un alourdissement vain. Pourquoi ne pas lui faire jouer un rôle favorisant, florissant et sensé, organisé sur une période que des experts sauront bien évaluer dans le plus grand sérieux que requiert cet exercice, en l’abaissant pour les productions vertueuses et de façon très significative dans un premier temps pour ainsi, favoriser la production qui respectera le mieux notre environnement et la santé de tous, jusqu’à ce que la plupart des producteurs aient été convaincus de convertir leurs mode de productions et leurs produits, dans la nature même de leur dessein, en passant de la seule quête vénale à l’équilibre sain d’une rentabilité suffisante, pour un produit qui honore le métier dans lequel s’inscrit cette production ?

Envisager sérieusement cette audacieuse œuvre économique et politique est aujourd’hui _avant que d’atteindre le pied du mur que l’on ne veut rencontrer_, la seule peine à se donner avant que de réfuter sous prétexte que ça ne s’est jamais vu encore.

Idéalement, cette mesure qui se devrait mondiale, prendrait plus d’ampleur, si au moins, l’ensemble des pays de celle qui, parce qu’ancienne dans la gouvernance, se trouve forte et grande, l’Europe. La frilosité de tous et celle notamment sur la collaboration dans des projets de grande ampleur me laisse présager qu’il faudra plutôt un audacieux pays à montrer que ça fonctionne pour qu’on lui emboîte le pas. À voir donc…

Tout aussi idéalement, la modulation de la TVA doit s’envisager avec des freins et facilitateurs comparables sur les importations.

Je propose d’abaisser de 90% le taux de TVA pour les productions réellement bio et écologiques pour une période de deux ans en l’annonçant 2 ans auparavant afin de permettre aux professionnels d’anticiper leur conversion pour partie. Les critères d’éligibilité doivent être d’une ambition à la hauteur de l’audace du plan à déployer.

Des taux intermédiaires peuvent s’envisager pour les producteurs se trouvant ou, dans les moyens de production ou, dans les qualités des produits finis, à des niveaux intermédiaires. Mais, pour une grande efficacité, il ne faut pas trop complexifier le plan. C’est déjà ce qui est de nos jours dans chacun des pays d’Europe comme à l’échelle communautaire ; c’est déjà ce qui ne marche pas manifestement (est donc à raser).

Bien évidemment, en échange de cette faveur, les prix doivent être gelés au détail comme en gros, sur le territoire comme à l’import sur les durées de chaque termes du plan de la TVA verte, afin de limiter les tentations spéculatives. Ce point est essentiel à la réussite de ce projet. La liberté des prix pourra et devra même si l’économie mondiale conserve ses tendances actuelles, redevenir réellement libre à la fin du plan.
Dans le même temps de cette annonce, indiquer l’augmentation de 5% de TVA ou plus, pour toutes les productions de toutes sortes qui se trouvent les plus polluantes et désastreuses pour la santé des hommes et de leur environnement d’une façon générale. Ce, à effet immédiat ou, le plus rapide possible.

Parallèlement et, idéalement à l’échelle européenne, instaurer des frais de douanes forts sur les importations non vertueuses en les supprimant pour les autres.

Dans des temps qu’il faut que l’expertise des économistes qui voudront bien s’intéresser à cette proposition en collaborant avec ceux de chaque branche tant en matières d’excellence vertueuse qu’en expertise du nuisible, remonter progressivement ce taux pour lui redonner une capacité à financer les besoins de l’état et donc de tous, tandis que les productions de moins en moins importantes en masse qui assuraient encore ce renflouement viennent à diminuer.
Ce temps peut s’envisager en durée certes, mais aussi bien en proportions de conversions et pourquoi pas par secteurs et branches.

Des organismes doivent s’établir pour garantir l’authenticité des catégorisations et contrôler le respect des normes instaurées qui peuvent tout aussi bien être programmées pour une évolution encore plus saine. Certains des organismes en place peuvent assurer cette charge par leur expertise et leur capacité opérationnelles. Les services fiscaux assureront eux les contrôles financiers avec une délégation spécifiques sur la surveillance des prix de vente que le plan peut et doit même, prévoir d’automatiser en masse le plus possible en mettant à contribution les services comptables des entreprises via un partage de DATA.

Il est certain que l’application de cette balance favorable à l’amélioration rapide de nos consommations de produits de toutes sortes et, alimentaires en particulier est viable lorsque l’on considère la part de produits vertueux de nos jours. Que des économistes aguerris s’intéressent à cette proposition pour lui fournir toute sa viabilité et sa force avant que n’opèrent les tentatives de la tuer dans l’œuf ou qu’elle meure dans l’oubli qui par le non arrivisme de son porteur qui se sent bien de l’audace lui mais, surtout pas le désir de mettre en œuvre les aptitudes à conquérir le pouvoir, , semble la plus probable.

L’idée est simple et, s’est justement ce qui fera sa force, son efficacité.
L’appliquer requière le savoir-faire des gestionnaires aux échelles macro-économiques et les connaissances et compétences scientifiques nous permettant de déterminer les critères de catégorisation et de contrôle.

Le frein le plus important à ce plan TVA verte se niche assurément au cœur de nos appareils politiques nationaux comme européens qui agissent le plus souvent aux échelles à très courts termes que sont celles dictées par les mandats. Or, ce plan ne peut s’envisager sur les durées des mandats actuels. Évoquons pareillement comme frein important, l’influence des lobbies.

Enfin, un frein non négligeable se trouvant en possession de chacun, il est à souhaiter qu’un marché noir potentiel pour les consommateurs accrochés à certains produits que nous ne savons pas encore concevoir à des prix abordables dans le respect des écologies de nos ressources planétaires comme sociales, se restreigne à un développement mineur dont l’impact tendra à diminuer au fur et à mesure que des solutions viendront satisfaire aux besoins de consommation qui auront pris du temps à trouver leurs verts pendants.

Voilà pourquoi l’audace politique est indispensable pour servir et garantir l’application intégrale du plan, à effet le plus complet possible.

Évidemment une telle audace se donnerait plus d’assurance à l’échelle européenne et plus encore. Elle impacterait bien plus certainement l’économie mondiale et l’ensemble des facteurs environnementaux et sanitaires à la faveur de la vie.

Il nous pourrait alors bien voir advenir une croissance verte ; croissance qui voudrait demeurer verte plus que tueuse. Un peu plus vertueuse donc, dans la satisfaction des besoins plus que dans le garnissage des porte-monnaie qui débordent !
ce serait peut-être la croissance de viabilité


écrit le 9 mars 2018 et corrigé le 12 avril 2019 en vue de le publier après avoir signé une pétition pour une TVA à 0% sur l’alimentation produite en Bio qui me fit évoqué cet article éminemment plus politique que poétique.
D’abord écrit pour le président de notre pays qui a fait sa campagne sur l’audace et en particulier celle « d’écouter » (sans même s’abonner à la lettre de Lyncée), j’ai désiré la proposer aux fameux grands-débats qui ne m’ont pas suffisamment animés de confiance à l’émergence de réelles innovations.

Cet article fut aussi le pendant optimiste et confiant en l’Humain d’un projet plus littéraire à peine amorcé avec un jeune soldat qui dans certaines circonstances retrouvent ses propres idéaux propres et, manœuvre en grand stratège qu’il ne souhaite jamais représenter, auprès d’un Général d’état-major qui aime beaucoup son sexe, son corps et son esprit ; tout autant qu’il aime sa femme et ses petits enfants. Ses manœuvres conduisent à une révolution dite verte menée conjointement dans plusieurs pays de la vieille Europe comme d’autres continents et se menant dans le plus grand respect possible de l’intégrité du vivant. La consigne prioritaire aux corps dés armées instauratrices « du vert sans rouge ! »…
Je n’ai pas lu les livres qui en évoquent déjà certaines qui seraient elles-mêmes plus ou moins réalistes. J’ai suivi des groupes sur des réseaux sociaux qui entre autres sujets, abordent souvent cet angle de possible ainsi que la collapsologie, l’effondrement, la décroissance.
Enfin, peu convaincu que la privation des libertés puissent me satisfaire, j’ai renoncé à toute forme de dictature, même la dictature verte, fusse-elle transitoire seulement, qui en France eut pu se nommer la Vertatude

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Et si J’Hurlais

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Et si J’Hurlais

Libérer la chaire ou se libérer d’elle dans une fugace éternité, pour initier l’infini, l’achever ou s’y initier… à toi de voir, entendre ou même hurler


Extrait du recueil Douceur à l’état Brut, disponible à la demande sur Bookelis ou dans les meilleures librairies.
écrit le 19 décembre 2018 et corrigé le 17 janvier 2019
enregistré le 13 et monté le 17 janvier 2019 et mis en ligne après environ 20 heures de travail
slamé en privé le 18 janvier – Ben quoi ? En privé si je veux !
Slamé le 23 janvier 2019 à L’Art Scène à Nantes
Slamé le 20 mars 2019 au café le Rouge Mécanique à Nantes avec l’association Lapins à Plumes

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Miroir, mon Double Miroir

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Miroir, mon Double Miroir

Sens et Conscience, Interrogatoires Croisés
Fusion des Sciences, Interrogeons les Consens

Je sais que tu le sens
Je sens que tu le sais
Sens-tu que je sais que tu le sens ?
Si tu le sens, le sais-tu ?

Je sens que tu le sais
Je sais que tu le sens
Sais-tu que je sens que tu le sais ?
Si tu le sais, le sens-tu ?

Tu sais que je le sens
Tu sens que je le sais
Sens-je que tu sais que je le sens ?
Si je le sens, le sais-je ?

Tu sens que je le sais
Tu sais que je le sens
Sais-je que tu sens que je le sais ?
Si je le sais, le sens-je ?


Petite gageure linguale en ce miroir très spécial !

Ce poème est idéal en balado pour s’amuser dans une introspection qui vire-langue en chanson pourquoi pas !
Vos enregistrements sont les bienvenus pour s’ajouter à cet article…


Extrait du recueil Douceur à l’état Brut, disponible à la demande sur Bookelis ou dans les meilleures librairies.
Pour soutenir le travail de Lyncée qui y met du cœur c’est par ici sur Tipeee ou Paypall


écrit le 11 septembre et titré le 19 décembre 2018
enregistré le 10 et monté le 13 janvier 2019


Commentaires reportés de Short édition :
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02/09/2021 Sar M
Un beau virelangue !
– 02/09/2021 Lyncée
Merci Sar M,Si tu veux te tenter un enregistrement avec une interprétation de ton choix, je me ferai un plaisir de le poster sur lyncee.me
Au plaisir
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Buvard

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Buvard

Mêlés dans les méandres crépusculaires des tourments alizés de ta nébuleuse mosaïque en ruine, mes rêves t’ont noyé sous un flot de brume tout au bout de la rue. C’est au détour de celle-ci que je me vis m’égarer devant la vitrine d’un marchand d’incertitudes, sur laquelle il y avait écrit :
« – 50% sur tous les articles damnés ». Je n’ai pas résisté longtemps au crucifix décapsuleur sur lequel Jésus s’tapait un rail d’enfer !

C’est en revenant d’Eldorado que je t’ai retrouvée frêlement vêtue de ton sari, occupée à chasser tes chimères maudites, bourrasques sur les plus beaux de tes rêves agonie.

Tu étais bleue et belle agenouillée au bord de la falaise, surplombant les pointes saillantes sculptées des lames et des années ; ton visage à demi recouvert des cheveux que le vent rabattait avec le moins d’ordre qu’il pu. Je t’ai aimée.

J’étais ce vent qui voulait effacer les embruns lymphatiques chus sur tes joues rougies de la chaleur de tes peines.

Je t’ai aimée dès lors. Mais que se passe-t-il ? Voilà que tu t’envoles et que bientôt la lumière t’a capturée.

Étais-je revenu d’Eldorado ? Y retournai-je ? Je contrôlais encore bien mal le cerf-volant de papier qui me possédait. Le temps ne m’a plus manqué alors pour décrocher la guitare du râtelier de Blues-Rock qui m’habitait, et m’invitait pour cela à enchaîner les accords d’une manière dissonante, triste que m’imposait ta disparition de mon trip. Les sanglots langoureux de ma voix déraillante l’ont amenée à cesser rapidement, ce répertoire spontané. Mais me voici qui m’élève à mon tour,…

Vais-je la revoir, peut-être sera-t-elle plus belle encore ? ! Cette ascension m’aveuglait : mes aéro-solaires ne contenaient plus la lumière. Était-ce ce cerf-volant d’origine inconnue ? Était-ce tout simplement un rêve qui verrait sa fin au moindre signal du plus ingrat des instruments de la civilisation, le réveille-matin ou, était-ce « le voile » de la falaise qui me disait « Viens ! Ouvre la porte de la perception » ? Une chaleur montait peu à peu en moi. Tout d’abord agréable et confortante, elle se montra bien vite intenable, étouffante à l’image de la couleuvre qui l’est, de sang frais. Ma gorge s’est¬asséchée, et l’air de commencer à manquer -à faire pâlir une nuée de drosophiles en rut-. La céphalée qui me partageait au lever de tous soleils qui s’ennuient, simulait le bruit sourd d’un douze cylindres en V attendant la lumière d’autorisation à faire crisser ses pneus, prenant soin de bien tirer tous les riverains de leur profonde léthargie. Je devenais sciemment fou à lier, dans la chaleur, la soif et la vitesse hallucinante de cette intrigante montée. J’ai perdu connaissance à l’issue qui m’est encore inconnue, de la lutte engagée au carrefour des portes, contre le serpent géant aux dents de braises.

La chaleur s’est apaisée, mes paupières filtraient maintenant un bleu que l’on ne rencontre qu’en mer rouge, à la pêche sous-marine en faible profondeur. Au loin, un aller et retour sourd et lancinant, rassurant, celui familier à mon oreille vagabonde des vagues aux bancs de sable d’une lagune. À mes narines parvenaient de volatiles poussières de granit usé des intempéries, et des années, et cette vieille odeur crachée une dizaine de minutes après un orage marin, l’été sur les pavés de Saint-Malo, ou sur les dunes des Landes.

La texture d’un tissu de chair acheva d’éveiller mes sens. Celui de la peau sucrée et moite d’une femme. Peau qui respirait la volupté, elle effleurait mon corps de son long. Le souffle vital de l’être qui habitait cette enveloppe charnelle, me venait tiède, au rythme de la vie qui allait et venait derrière moi, nous. Ce souffle si rassurant m’arrivait au creux du cou.

Cette peau devait appartenir à la femme de la falaise _que je n’ai plus de raison d’appeler « le voile »_, nue comme la nuit sans nuage.

Au fil de mes découvertes, les éléments s’imbriquaient jusqu’à constituer un décor. Je me mis ensuite, toujours sans l’envie d’un geste, à apprendre le contact de ce voile humain tout au long de mon corps.

Ce n’est qu’au moment de son premier mouvement aventurier, tendre, que, les yeux clos, je décidai de prendre connaissance de sa chair. Nos membres murent, tous deux à la découverte de l’autre par les sens les moins usuels. Il était venu le moment de m’apercevoir de ma propre nudité. Dans l’entrelacement langoureux de nos atomes, je sentis son âme pénétrer la mienne, et mon corps pénétrer le sien, de nos coups de cœurs nous assiégeâmes nos places fortes et nous nous intronisâmes à perpétuité. Elle était bien celle des abîmes de mon âme.

Nos lèvres se sont rencontrées, et tous nos sens de communier tout le temps de ce rêve.

Une aile du cerf-volant qui m’entraînait s’est brisée, et j’ai tendu la main pour éteindre le réveil-matin qui venait de sonner, au même instant qu’à la porte on frappait bruyamment. Le temps pour moi d’allumer la lumière verte éclairant l’espace du levé de mon corps encore diffus en ce rêve, les visages de Jim Morrison et Mick Jagger, puis de déverrouiller la porte d’entrée.

Un souffle glacial envahit la pièce. Elle était déjà là ! Elle était là devant ma porte, haute, grande, maigre et imposante, malgré son allure de porter un fardeau. Elle avait effacé en arrivant, le décor qui m’est familier au sortir de chez moi. Elle y avait substitué sa horde de serpents agités, venimeux et gluants à têtes écaillées, aux ailes de papier crépon noir tirant la faux dont elle avait fainéantise de s’affranchir.

On ne lui voyait pas le visage au travers de l’ombre de son manteau noir lui aussi, mais je l’ai vite reconnue à l’appel du squelette de sa main tremblante, allongée. Le cerf-volant, je crois, m’a dit de prendre mes cigarettes ; nous pûmes partir aux alentours de minuit.


écrit le 13 décembre 1993
enregistré et monté en 1998 avec la voix de Jean-Luc Beaujau et numérisé en juillet 2018
Copyright 1996
ISBN : 2-908068-72-9

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Modèle Absent – Sculptrice Interdite

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Modèle Absent

Sculptrice Interdite

ou passerelles de l’expérience à l’inspiration, de l’inspiration à l’expérience ou encore, de la vacuité de l’inspiration à l’inspiration par l’expérience depuis la vacuité

Rien de bien sorcier, le modelage du précipice inspirant. Dans un terreau bien connu, l’attirance de la bouche pour découvrir… et quelle découverte !

à vos commentaires, partages d’expériences buccales ou autres, partages à vos amis messieurs dames !

écrit le 21 octobre 2016 modifié le 5 octobre 2018
Slamé le 02/10/2018 au café Le live bar à Nantes avec l’association Lapins à Plumes

enregistré le 6 et monté le 8 octobre 2018 (7:30 heures de travail)

proposé dans un format vidéo sur la page Facebook de Lyncée le 27 octobre 2018 avec 121 vues et 34 interactions au 27 novembre quand je place ce lien. Autant dire qu’il est intéressant d’utiliser ce réseau…


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L’Amour à Fleur de Danse

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L’Amour à Fleur de Danse

Introspection du désir dans la pulsation des amants échoués sur la grève. Encore une vague en corps ; qu’ils s’aiment

Je recherche pour ce poème, des interprètes hommes et femmes pour d’autres propositions sonorisées… Contactez-moi si vous souhaitez en être.

L’Amour à Fleur de Danse

J’aime l’amour à fleurs, l’amour à bouches,
L’amour en accroche-cœurs, l’amour qui touche
Baigner dans nos senteurs quand plus rien ne bouge
Poser la tête à fleur du ventre où je
Prolonge l’amour
Qu’il dure toujours
Au fond de moi
Poinçonne
Poinçonne-moi
Imprègnes-moi
Et, reprends-moi dès que tu peux
Bander encore
Rien qu’un p’tit peu
Sous mon souffle
Et mes cheveux
Là, dans ma main qui te réchauffe.
J’aime l’amour encore, l’amour de nous,
Sentir mon désir fort, l’amour en nous
Sentir monter en corps que tout recommence
J’aime que nos deux corps s’apprennent en danses


écrit le 8 décembre 2016
enregistré le 07 mai 2018 et monté le 31 mai 2018.


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Commentaire reporté de Short édition :
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27/08/2021 Olivier Descamps
Fusionnel et passionné !
– 30/08/2021 Lyncée
dans l’extase des chairs
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