Harpsychés à La Ruche (théâtre nantais)

l'affiche présente une forme de miroir avec les portraits des poètes incrustés, quelques notes de musique et le bandeau de La Ruche, un théâtre nantais

Récital poétique
Harpsychés
en plein dans tes oreilles !


Harpsychés à La Ruche (Nantes), une première pour ce récital poétique dans la programmation d’un théâtre, avec une scène, du son et surtout les lumières qui ne se purent lors de notre dernière présentation, verrière de juin oblige. 3 journées de résidences en janvier pour améliorer encore notre proposition poéticoscénique, un calendrier de répétitions pour vous en offrir le meilleur, et tout bientôt un rendez-vous avec vous, cher public, grâce à qui vit la poésie du papier aux oreilles en passant par les corps !
Lue, dite, accompagnée ou à voix nue, chantée même, la poésie dans tous ses états, mise en voix, en son dans la magie de la Harpe de Mouna, et en scène pour ne pas vous plonger tous seuls dans le noir


Harpsychés à La Ruche c’est :

Trois auteureuses rien que pour vous, de leurs recueils à vos accueils dans la clarté des arcanes de la harpe de Mouna comme en solos. Serpentins d’alambics, dédales tortueux, voix lumineuses stratosphériques et galaxies intimes à cheminer ensemble juste pour voir.



Le récital Harpsychés se prolonge par des discussions, et les dédicaces des recueils des auteurs en vente sur place si vous n’avez pas le vôtre sur vous ou souhaitez en offrir.

Bon ben, il ne reste plus qu’à en parler partout et à tous, objectif : salle comble et nombreuses déceptions de n’avoir pu en être !
Partageons avec nos amis, sans oublier nos ennemis qui ne sont pas forcément irrécupérables, nos voisins, nos collègues, et partout où de la poésie peut venir taquiner les équilibres des mondes, partageons et commentons sur les réseaux encore…

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Inanités inclusives

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Inanités inclusives

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inanités inclusives
Je ne suis pas sis genre Je ne suis pas un homme Je ne suis pas une femme Je ne suis pas transgenre, ni d’une combinaison de sexes mêlés
Je n’ai pas la peau claire Je ne suis pas blanc Je ne suis pas blanche Je ne suis pas blanche
Je n’ai pas la peau teintée Je ne suis pas noir Je ne suis pas noire Je ne suis pas colorée
Je n’ai pas perdu la vie Je ne suis pas décédé Je n’ai pas disparu Je ne suis pas morte
Je n’ai pas la santé altérée Je ne suis pas malade Je ne suis pas malade Je ne suis pas malade
Je ne connais pas d’invalidité Je ne suis pas handicapé Je ne suis pas handicapée Je ne suis pas tarée
Je ne suis pas chauve Je ne suis pas dégarni Je ne suis pas échevelée Je ne suis pas tondue
Je ne suis pas beauelle je ne suis pas beau Je ne suis pas belle Je ne suis pas beauelle
Je ne suis pas vilaine Je ne suis pas vilain Je ne suis pas vilaine Je ne suis pas vilaine
Je ne suis pas visible Je ne suis pas ce que tu vois je ne suis pas ce que tu vois Je ne suis pas visible
Je ne relève pas d’un groupe Je ne suis pas d’un groupe Je ne suis pas de l’autre moitié de l’humanité Je ne suis pas d’un ghetto, d’une minorité, d’un milieu
Je n’ai pas d’aubédience je ne suis pas croyant je ne suis pas croyante je ne suis pas mécréante
J’ai quelques doutes Je ne suis pas incrédule Je ne suis pas incrédule J’ai quelques certitudes
je ne sais pas écrire Je ne suis pas auteur Je ne suis pas autrice Je ne suis pas auteureuse

Je ne suis pas

je ne suis pas

je ne suis pas

Je ne suis pas poète


écrit le 20 septembre 2021 et retouché ce jour lors de la mise en ligne.
Qui a dit qu’on ne ferait un poème dans un tableau en html et des bribes d’écriture inclusive pour une langue qui ne l’est pas tout à fait encore, bien que nous y travaillions ?

écriture inclusive qui n’exclurait pas les aveugles !

Perso, dans un souci d’inclusivité de notre langue, le français, conjugué à celle des êtres qui le lisent, je rejette les points et tirets typographiques de toutes sortes. Pragmatique, ceci ne tient pas à une esthétique visuelle particulière, mais à la seule nécessité d’une compréhension orale de ce qui est lu par des moteurs de synthèses vocales comme cette poésie-ci.
Aussi, je privilégie la construction de mots sans séparateurs, pour les employés uniquement lorsqu’ils s’avèrent indispensables au sentiment d »inclusion, des lecteureuses de mes pages !
Et si le contexte mérite que la sonorité souligne un caractère heureux ou l’y adjoigne pour l’ensoleiller, je favorise des terminaisons en « eureuses » plutôt que les fameux « eurices » qui pullulent et fourchent les langues en cisaillant les tympans sur l’achèvement de la lecture.

à retenir

Ainsi, retiens que lorsque tu écris pour rendre publique ton article sur des écrans, l’écriture inclusive en train de se normaliser en usant de séparateurs notamment, tend à exclure les bigleux et autres aveugles de la compréhension immédiate de ton propos.
Qu’il est pour euelles, préférable de combiner des mots qu’une voix synthétique ou produite par une intelligence artificielle saura rendre de manière audible et faisant sens au plan sémantique.
Que si les sons de terminaisons peuvent coïncider avec l’ambiance de ton propos ou avec ton intention d’auteureuse, les lecteurs qui n’y voient goutte s’en porteront d’autant mieux !

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Méandres d’un 13 juillet de 2020 avec Lyncée

Veille d’une fête nationale quand le nationalisme me manque, que les sommes des patriotismes se sont tous annulés, qu’enfin des millions d’Euros en France demain et ailleurs bientôt ne vont pas partir en fumées pétaradantes et vaines autant qu’inutiles et polluantes, que la nuit fut brève dans un brin de tourment que je tente de pacifier depuis quelques semaines déjà, voici que, bon à rien d’autre, je me plonge dans les méandres statistiques du balado de Lyncée pour la première fois depuis son lancement en mars 2018.
Je ne t’en rapporterai que de grandes lignes et par bribes successives.
Je t’inviterai à l’action comme de commenter et noter les épisodes ou l’ensemble du balado sur le site, ton application ou ta plateforme favorite. Tiens, voilà que cet appel est déjà lancé !
Ben oui, dans les autres méandres de l’Internet ceux-ci, dont tu connais une part tout comme moi, Lyncée a grand besoin de se faire un peu plus repéré pour être lu et entendu. Ceci est propre à l’y aider car, sur le net, si on ne parle pas de toi, tu n’existe pas. Ce qui fait exister le plus ce dont on parle le plus ! Aussi absurde que ce soit, si tu veux plus de poésie dans ce monde virtuel, il est nécessaire d’en parler.

Accompagné de sa nouvelle secrétaire qui se reconnaîtra, il a mené une campagne de communication sur FaceBook que tu connais. Campagne assez mitigée forcément avec les scrupules et les limitations de ton serviteur, elle ne pouvait en l’absence de photo et vidéo être optimisée. Toutefois, elle a permis de voir la communauté des amis de Lyncée augmenter quelque peu sur ce réseau comme sur la lettre d’information de Lyncée. Merci à tous et merci de tous les relais que vous ferez des publications qui vous semblent valoir les quelques clics pour les faire connaître un peu plus.

Les temps du monde de pendant sont durs comme toujours (selon qui les vit), et si pour toi ils se vivent assez bien, que tu souhaites soutenir le travail de création pour la production sonore de ce contenu, c’est toujours possible en suivant les liens à dessein vers Tipeee ou Paypal.
Aucune monétisation ne viendra encombrer tes oreilles de publicités, ni même ta vue quand tu navigues sur lyncee.me et puis tant mieux !

J’en reviens aux premières bribes de ce qui peut éventuellement t’intéresser à propos de ton balado préféré (à ce que j’en sais) :

Douceur à l’État Brut cumule le plus grand nombre d’écoute. Normal, il est bien plus représenté que mon autre recueil qui ne compte que 15 poèmes.
– Presque la moitié des écoutes se font sur le site via un navigateur. Là, c’est une surprise pour moi qui, adepte du balado ne les écoute quasiment que sur mon application favorite podcast Addict.
– Tu écoutes le balado de Lyncée depuis 37 pays différents, quel voyageur tu fais ! Avec 3 pays francophones seulement dans les 10 premiers (je ne paie pas l’option qui permet d’avoir plus de statistiques) : France 79,6 %, Canada 1 %, Belgique 1 %. Un grand merci à tous, où que se nichent vos zoreilles ! Nos voisins suisses méritent tous nos prochains efforts de réclame…

Un peu plus de ces fameuse statistiques dans les prochaines nouvelles pour ne pas te lasser dès aujourd’hui !

Au plaisir


Sous l’orage de la vie, en voir plus encore à la lumière de leur recueil Douceur à l’État Brut avant l’arrivée du son…

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La Vie en Formation Continue

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Trois verbes, deux adverbes principaux, un nom pour l’évocation du temps et, ce qui paraît l’essence de la pédagogie, la répétition. Répétition qui s’avère plutôt un étayage, soutient d’éclaircissements exploratoires aux tissages des étapes de nos évolutions, en manière de pédagogie à la pédagogie.
Nos évolutions à tâtons, riches des étapes passées comme de celles projetées que de traces en places, nous surplombons parfois en bribes de vie en formation continue.

Dans l’espoir d’apprendre toujours et ainsi s’abstenir de décréter l’immuabilité de ce qui pourrait tout aussi bien n’être pas.

Dédié tout spécialement à qui s’en sent concerné.


écrit le 16 octobre 2019, enregistré le 5 juin et monté le 09 juillet 2020
publié dans Douceur à l’État Brut

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Il y a les Grands Bonds

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Il y a les grands bonds,
Les sauts de puces,
Les petits bonds et les faux bonds,
Nos cartes à puces et nos astuces
Il y a les bons pas si bons
Et les bons bons

 


Comme il m’amuse de me navrer des regards portés à notre évolution. À moins que je ne me navre de l’amusement de voir les regards portés à notre évolution ?
Voilà que je m’y perds… Autant le vivre en chanson pour singer un mamouth de notre belle France qui n’a lui pas cru bon de nous dispenser de certains de ses regards sur nos évolutions !
N’insiste pas, je ne veux pas m’étendre à propos de Michel S… qui n’a fort heureusement aucun pouvoir ou presque plus…


Ce poème ouvre la 5ème partie du recueil Douceur à l’État Brut, publié voici peu et que tu peux te procurer… Ce beau livre manque à ta bibliothèque comme à celle de tes amis, même si je te l’apprends là.
écrit le 12 février 2017 corrigé le 21 juin 2019
enregistré le 1er novembre 2019 et monté le 3 février 2020


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Allers-Retours et Sacrifices

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Allers-Retours et Sacrifices

On piétine, on tape nos cinquante otages.
De colère on se moque des cent fesses en cage,
Car ici, on ne marche, que pour dire au préfet
Que ses p’tits sont des vaches, qui rient de leurs méfaits

A monsieur de répondre, qu’il n’est pas le Bon roi,
Duchesse de nous pondre, des traités de Bon droit.
Monarque au piédestal, sous notre cathédrale,
Tes hordes sont brutales, entends, le peuple râle.

Incendies et pavés, demain seront tombés,
Nous enterrerons nos cendres, sous une couche béton,
Pour qu’un jour Alexandre, goûte de son téton ;

Et puis de temps en temps, pleure les retombées.
Si fort qu’il commmémore, les monuments aux morts,
Si fort que le temps, lui jettera un sort.


écrit à l’automne 1995 (manif CPE) et, retouché avant le 30 janvier 1996
enregistré et monté en 1998 avec la voix de Jean-Luc Beaujau et numérisé en juillet 2018
Copyright 1996
ISBN : 2-908068-72-9

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Haïkus pour ma planète

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Haïkus pour ma planète

Réchauffement climatique, cataclysmes, responsabilités, le tour de la question en poésie, avec quelques haïkus de mon cru.
Synthétique donc, le tour !

Je t’en parlais voilà peu et les voici tout chauds sortie du montage de mon canapé. Écrits pour un concours pour la gloire et la bonne cause…
Leurs versions textuelles par ici…


écrits le 6 avril 2019
enregistré le 21 et monté le 25 juin 2019
Comme je ne sais pas faire d’enregistrements à l’extérieur, il s’agit comme on peut le remarquer d’un montage opéré en glanant à La Sonothèque sous licence Creative Common


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Un haïku pour la planète – réhabilitation !

Votez pour vos haïkus préférés pour la planète…

Les liens après t’être donné la peine de lire deux haïkus de ma composition ! Tu ne croyais tout de même pas t’en tirer à si bon compte ?

Sales mômes

Saboteur de vie
Aveugles enfants sourds sans peur
Crevards innocents

Réhabilitation

Ce poème n’a pas été retenu et pourtant, il a ma préférence car, aujourd’hui, combien sont les efforts qu’il nous faut fournir pour continuer de dire qu’on ne savait pas !

Chauffe ma planète
Monte l’eau à nos fenêtres
Partitionne la vie

les liens pour voter…

Ben voilà, quand tu veux :
Les liens pour voter pour tes haïkus préférés au concours « Un haïku pour la planète » sont là, tout chauds…

tes votes pour la catégorie jeunesse

ceux pour la catégorie adultes


afin de ne pas t’influencer dans tes votes, ceux qui ont été retenu en première lecture ne seront publiés ici qu’à partir du 17 juin (fin des votes le 16).
Si tu veux me soutirer quelque information à leur sujet pour mieux les dénicher dans la liste des 125 qu’il t’ai offert de découvrir sur ce dernier lien, je te remercie de bien vouloir m’en soumettre en commentaires de l’article, la demande sous la forme d’un haïku ;-p
écris le 6 avril 2019

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Politique audacieuse et ambitieuse pour une VRAIE TVA Verte

Politique audacieuse et ambitieuse pour une VRAIE TVA Verte

Comment mener un pays sans force, sans élan, vrais ?

L’expression TVA verte a déjà été employée. Pourtant, elle n’avait de vert que l’essence jeune et presque innocente de son expression même, d’une nouvelle intrigante qui ne trouvait pour susciter l’intérêt et tourner les regards à elle, que le nom d’une couleur à peine encore en vogue, quasiment non encore incarnée. Elle n’inventa rien et se prit donc à jouer les mêmes règles que celles toujours usités par les convenables usages de ses paires et aïeules idées : un demi point de plus ou de moins par ici, un taux intermédiaire par là, une exonération pour ceux-ci…

Une TVA verte se peut réellement ! Une TVA verte vraiment, dans l’audace d’une politique volontaire et même volontariste ; quasi révolutionnaire et orchestrée par un gouvernement qui ose enfin donner du sens à l’usage de la main sur le gouvernail de la barque qu’il dirige.

La TVA. Cette taxe si essentielle à l’alimentation des caisses de l’état sur lesquelles nous comptons tous pour les services attendus dont nous voulons bénéficier encore.

La rendre verte et même envisager qu’elle devienne vertueuse !

Au lieu de se poser en simulacre de censure ; simulacre par le peu d’écart de taux applicables sur les productions non vertueuses et censure par un alourdissement vain. Pourquoi ne pas lui faire jouer un rôle favorisant, florissant et sensé, organisé sur une période que des experts sauront bien évaluer dans le plus grand sérieux que requiert cet exercice, en l’abaissant pour les productions vertueuses et de façon très significative dans un premier temps pour ainsi, favoriser la production qui respectera le mieux notre environnement et la santé de tous, jusqu’à ce que la plupart des producteurs aient été convaincus de convertir leurs mode de productions et leurs produits, dans la nature même de leur dessein, en passant de la seule quête vénale à l’équilibre sain d’une rentabilité suffisante, pour un produit qui honore le métier dans lequel s’inscrit cette production ?

Envisager sérieusement cette audacieuse œuvre économique et politique est aujourd’hui _avant que d’atteindre le pied du mur que l’on ne veut rencontrer_, la seule peine à se donner avant que de réfuter sous prétexte que ça ne s’est jamais vu encore.

Idéalement, cette mesure qui se devrait mondiale, prendrait plus d’ampleur, si au moins, l’ensemble des pays de celle qui, parce qu’ancienne dans la gouvernance, se trouve forte et grande, l’Europe. La frilosité de tous et celle notamment sur la collaboration dans des projets de grande ampleur me laisse présager qu’il faudra plutôt un audacieux pays à montrer que ça fonctionne pour qu’on lui emboîte le pas. À voir donc…

Tout aussi idéalement, la modulation de la TVA doit s’envisager avec des freins et facilitateurs comparables sur les importations.

Je propose d’abaisser de 90% le taux de TVA pour les productions réellement bio et écologiques pour une période de deux ans en l’annonçant 2 ans auparavant afin de permettre aux professionnels d’anticiper leur conversion pour partie. Les critères d’éligibilité doivent être d’une ambition à la hauteur de l’audace du plan à déployer.

Des taux intermédiaires peuvent s’envisager pour les producteurs se trouvant ou, dans les moyens de production ou, dans les qualités des produits finis, à des niveaux intermédiaires. Mais, pour une grande efficacité, il ne faut pas trop complexifier le plan. C’est déjà ce qui est de nos jours dans chacun des pays d’Europe comme à l’échelle communautaire ; c’est déjà ce qui ne marche pas manifestement (est donc à raser).

Bien évidemment, en échange de cette faveur, les prix doivent être gelés au détail comme en gros, sur le territoire comme à l’import sur les durées de chaque termes du plan de la TVA verte, afin de limiter les tentations spéculatives. Ce point est essentiel à la réussite de ce projet. La liberté des prix pourra et devra même si l’économie mondiale conserve ses tendances actuelles, redevenir réellement libre à la fin du plan.
Dans le même temps de cette annonce, indiquer l’augmentation de 5% de TVA ou plus, pour toutes les productions de toutes sortes qui se trouvent les plus polluantes et désastreuses pour la santé des hommes et de leur environnement d’une façon générale. Ce, à effet immédiat ou, le plus rapide possible.

Parallèlement et, idéalement à l’échelle européenne, instaurer des frais de douanes forts sur les importations non vertueuses en les supprimant pour les autres.

Dans des temps qu’il faut que l’expertise des économistes qui voudront bien s’intéresser à cette proposition en collaborant avec ceux de chaque branche tant en matières d’excellence vertueuse qu’en expertise du nuisible, remonter progressivement ce taux pour lui redonner une capacité à financer les besoins de l’état et donc de tous, tandis que les productions de moins en moins importantes en masse qui assuraient encore ce renflouement viennent à diminuer.
Ce temps peut s’envisager en durée certes, mais aussi bien en proportions de conversions et pourquoi pas par secteurs et branches.

Des organismes doivent s’établir pour garantir l’authenticité des catégorisations et contrôler le respect des normes instaurées qui peuvent tout aussi bien être programmées pour une évolution encore plus saine. Certains des organismes en place peuvent assurer cette charge par leur expertise et leur capacité opérationnelles. Les services fiscaux assureront eux les contrôles financiers avec une délégation spécifiques sur la surveillance des prix de vente que le plan peut et doit même, prévoir d’automatiser en masse le plus possible en mettant à contribution les services comptables des entreprises via un partage de DATA.

Il est certain que l’application de cette balance favorable à l’amélioration rapide de nos consommations de produits de toutes sortes et, alimentaires en particulier est viable lorsque l’on considère la part de produits vertueux de nos jours. Que des économistes aguerris s’intéressent à cette proposition pour lui fournir toute sa viabilité et sa force avant que n’opèrent les tentatives de la tuer dans l’œuf ou qu’elle meure dans l’oubli qui par le non arrivisme de son porteur qui se sent bien de l’audace lui mais, surtout pas le désir de mettre en œuvre les aptitudes à conquérir le pouvoir, , semble la plus probable.

L’idée est simple et, s’est justement ce qui fera sa force, son efficacité.
L’appliquer requière le savoir-faire des gestionnaires aux échelles macro-économiques et les connaissances et compétences scientifiques nous permettant de déterminer les critères de catégorisation et de contrôle.

Le frein le plus important à ce plan TVA verte se niche assurément au cœur de nos appareils politiques nationaux comme européens qui agissent le plus souvent aux échelles à très courts termes que sont celles dictées par les mandats. Or, ce plan ne peut s’envisager sur les durées des mandats actuels. Évoquons pareillement comme frein important, l’influence des lobbies.

Enfin, un frein non négligeable se trouvant en possession de chacun, il est à souhaiter qu’un marché noir potentiel pour les consommateurs accrochés à certains produits que nous ne savons pas encore concevoir à des prix abordables dans le respect des écologies de nos ressources planétaires comme sociales, se restreigne à un développement mineur dont l’impact tendra à diminuer au fur et à mesure que des solutions viendront satisfaire aux besoins de consommation qui auront pris du temps à trouver leurs verts pendants.

Voilà pourquoi l’audace politique est indispensable pour servir et garantir l’application intégrale du plan, à effet le plus complet possible.

Évidemment une telle audace se donnerait plus d’assurance à l’échelle européenne et plus encore. Elle impacterait bien plus certainement l’économie mondiale et l’ensemble des facteurs environnementaux et sanitaires à la faveur de la vie.

Il nous pourrait alors bien voir advenir une croissance verte ; croissance qui voudrait demeurer verte plus que tueuse. Un peu plus vertueuse donc, dans la satisfaction des besoins plus que dans le garnissage des porte-monnaie qui débordent !
ce serait peut-être la croissance de viabilité


écrit le 9 mars 2018 et corrigé le 12 avril 2019 en vue de le publier après avoir signé une pétition pour une TVA à 0% sur l’alimentation produite en Bio qui me fit évoqué cet article éminemment plus politique que poétique.
D’abord écrit pour le président de notre pays qui a fait sa campagne sur l’audace et en particulier celle « d’écouter » (sans même s’abonner à la lettre de Lyncée), j’ai désiré la proposer aux fameux grands-débats qui ne m’ont pas suffisamment animés de confiance à l’émergence de réelles innovations.

Cet article fut aussi le pendant optimiste et confiant en l’Humain d’un projet plus littéraire à peine amorcé avec un jeune soldat qui dans certaines circonstances retrouvent ses propres idéaux propres et, manœuvre en grand stratège qu’il ne souhaite jamais représenter, auprès d’un Général d’état-major qui aime beaucoup son sexe, son corps et son esprit ; tout autant qu’il aime sa femme et ses petits enfants. Ses manœuvres conduisent à une révolution dite verte menée conjointement dans plusieurs pays de la vieille Europe comme d’autres continents et se menant dans le plus grand respect possible de l’intégrité du vivant. La consigne prioritaire aux corps dés armées instauratrices « du vert sans rouge ! »…
Je n’ai pas lu les livres qui en évoquent déjà certaines qui seraient elles-mêmes plus ou moins réalistes. J’ai suivi des groupes sur des réseaux sociaux qui entre autres sujets, abordent souvent cet angle de possible ainsi que la collapsologie, l’effondrement, la décroissance.
Enfin, peu convaincu que la privation des libertés puissent me satisfaire, j’ai renoncé à toute forme de dictature, même la dictature verte, fusse-elle transitoire seulement, qui en France eut pu se nommer la Vertatude

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Mortel Ange

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Mortel Ange


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Thème d’un concours de poésie. Comme je les trouvais très bien mes poèmes, les voici, tout non primés qu’ils sont. celui-ci t’ai proposé en second pour une chronologie du sens mais, je ne sais plus lequel fut écrit le premier. Tu peux écouter le premier qui fut converti en balado et mis en ligne ici… Tous deux évoquent la démarche essentielle quant à dieu, les anges et l’angélique en général !

Une fois n’est pas coutume, voici le texte car, ce balado présente la particularité d’être assez visuel malgré qu’il soit proposé dans un format uniquement sonore !


Mortel Ange

Mords tes langes doux agneau
Tant que mortelle Angèle
Ignore que morte est l’ange.
Qu’elle soit morte elle en gel !

Mords tes langes doux agneau
Quel mortel ange tu fais !


écrit le 18 février 2017 pour le soumettre au concours de poésie de l’association des amis de Verlaine la même année, sur le thème « Mortel Ange ». Dois-je avouer que le thème m’ennuyait profondément ? Corrigé le 8 décembre 2018.
enregistré et monté le 8 décembre 2018 (3:30 de travail


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Sumere

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Sumere

Pour évoquer un phénomène plus ancien encore que le latin, ce titre au néologisme déjà daté, évoque le consumérisme qui, déifié, a toujours bien mérité que l’on meure pour lui.
C’est bien la moindre des choses pour un Dieu non ?

Voici le balado du second poème soumis au même concours…


écrit le 18 février 2017 pour le soumettre au concours de poésie de l’association des amis de Verlaine la même année, sur le thème « Mortel Ange ». Dois-je avouer que le thème m’ennuya profondément ?
enregistré et monté le 3 décembre 2018 (4:30 de travail)


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Portraits Clichés -Lumières Aveugles

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Portraits Clichés -Lumières Aveugles

Portraits alignés pour une exécution en règle. Aux mortes saisons de la conscience des hommes comme aux rendez-vous du connu qu’on ignore.

Le soleil soufflé par le vent comme une bougie par le vœu d’un enfant
[…]
Une forte contagion et pas de rémission


écrit le 29 novembre 1998, dernière correction le 11 septembre 2018
extrait du recueil Quand on Essore des Ombres, qui n’a jamais été publié
Enregistré le 11 septembre 2018 et monté le même jour ; environ 6:30 de travail.


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Bapu est Mort

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Bapu est mort

Lolenne, accroche-moi ; tous les serpents du Roi
Simulent les Sirènes. Si les cinglants sifflets,
Sur l’âme Si pâle, de ma frêle carapace,
Terrassent ma carcasse. Elle se fracasse trépasse,
En un plongeon d’enclume ; éclaboussures d’écumes
Arrivées en pâture, au pied des bois du Roi.
Il ne m’a jamais vu, mais ses soldats m’ont eu.


— pour savoir de qui il s’agit —-


La version originale comportait une faute que l’éditeur n’a pas relevé et que mon ignorance avait couché en francisant Bapou.

écrit avant 1996
enregistré et monté en 1998 avec la voix de Jean-Luc Beaujau et numérisé en juillet 2018
Hommage au père du combat pacifiste surnommé affectueusement Bapu
Copyright 1996
ISBN : 2-908068-72-9

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