L’auto-édition de Partout Charlie(s) #jesuis
Si ton empressement t’insupporte et qu’il ne te semble pas opportun de lire ce que je veux t’écrire avant de te jeter sur cette nouveauté que tu n’espérais presque plus, clique vite sur ce lien parce qu’il te faut absolument Partout Charlie(s) #jesuis. Tu pourras toujours revenir à cet article en attendant ta commande.
Après avoir déniché la graphiste qui en fera la couverture et les premiers envois à des maisons d’édition, il restait à venir à bout de l’inaccessible proposition d’auto-édition gratuite d’escrocs dont les outils en ligne fonctionnent assurément mieux lorsque l’on souhaite publier à partir de leurs modèles de couvertures préformatés et dont la 4ème ne peut être que blanche et textuelle. Inaccessible aux personnes aveugles et aux pauvres qui manqueraient de patience et comme leur étiquette nous laisse à le présumer, de fonds.
C’est ainsi que la publication prévue pour la mi-avril ne s’est pu en réalité qu’à la fin de mai alors que la couverture était prête depuis début février, que le texte l’était depuis la fin de novembre 2020. Quatre essais d’impressions plus tard, la vingtaine d’exemplaire qui vient d’arriver semble bien remplir toutes les conditions voulues à la publication de ce recueil que je te laisse découvrir dans sa présentation et sa lecture si le cœur t’en dit, en t’épargnant le détail des mauvaises relations de Lyncée avec cet imprimeur qui à l’instar de ses semblables gagne sa vie en misant sur les besoins des auteurs de recourir à leurs services payants, plus que sur les ventes des livres papiers ou numériques.
L’aventure a épuisé les forces que Lyncée avait projeté de consacrer à se conformer en quelques manières aux attendus de la part d’auteurs qui se veulent professionnels en programmant la sortie avec des pré-ventes, des annonces sur réseaux sociaux et la parution au format papier quelques semaines plus tard. C’est ainsi que Partout Charlie(s) parait en s’annonçant à postériori. C’est que c’est de l’entretien une réputation de poète maudit !
D’ailleurs, les réponses des maisons d’éditions auxquelles ce recueil a été adressé ont toutes été négatives à ce jour, sauf à m’inviter à sortir des sous pour publier à compte d’auteur. N’ayant pas le sou, l’auto-édition sera une nouvelle fois l’issue possible.
La suite
Lyncée ayant beaucoup de pain sur la planche, le clavier et le reste, il œuvre plus volontiers au fournil qu’aux portes des librairies qui boudent l’auto-édition en pinçant les lèvres le plus souvent. Comme aucun spectacle de poésie n’est programmé, la promotion se limitera tant qu’aucun marchand de livres ne s’en saisira, à quelques évocations sur ces pages et dans ta boîte à courriels, les réseaux sociaux où Lyncée s’ébroue par temps de scrupules de taiseux tant qu’il n’a rien de mieux à dire que « achetez mon livre ! » et dans la proposition d’enregistrements sonores d’extraits dont les premiers sont déjà disponibles sur son balado (podcast) par ici…
La suite pour toi qui achète ce recueil, se peut en coulisses dans le carré VIP où tu pourras t’enregistrer pour quelques bonus quand il y en a. En ce moment, c’est l’exclusivité de Qua o ess d omb, la moitié d’un recueil dont l’autre restera selon toutes vraisemblances tapie sous des tapis auxquels Lyncée n’accède plus, même pour un peu de ménage.
L’autre suite, c’est toi qui la fera
Pour voir toute la couverture et la tâter…
à bientôt de te lire, t’entendre ou te croiser
Lyncée